OFabulis, le jeu vidéo du Centre des monuments nationaux – Fédération Patrimoine-Environnement

Pour fêter ses cent ans (en 2014), le Centre des monuments nationaux (CMN) s’est associé avec l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-yvelines et Emissive pour réaliser OFabulis, un jeu vidéo en ligne.

Au croisement des jeux d’aventures – où la résolution d’énigmes constitue un mécanisme central –, et des jeux de rôle en ligne – qui mettent l’accent sur le développement d’avatars –, OFabulis est un projet au concept et au design novateur qui met en avant la coopération entre les joueurs.

Basé sur des énigmes, le jeu en 2D et 3D emmène les personnages à travers le temps avec un objectif simple : faire découvrir le Centre des Monuments nationaux, son histoire, ses agents et leurs métiers, ainsi que les monuments qui le composent (comme le Panthéon, le Château de Vincennes, l’abbaye du Mont-Saint-Michel, le Château d’If, la Basilique de Saint-Denis ou la forteresse de Mont-Dauphin…).

Plus précisément : il est possible de créer son avatar, de partir à l’aventure avec lui, de traverser le temps en franchissant les portes des légendes, de découvrir des châteaux, abbayes et sites préhistoriques avec votre groupe d’aventuriers… Menez votre enquête et découvrez les secrets des monuments !

Le Centre des monuments nationaux poursuit deux objectifs avec ce projet :

attirer un nouveau public, les jeunes de 18 à 30 ans
valoriser les agents du CMN et leurs métiers en les impliquant dans le projet

***

Ce jeu multijoueur en ligne est complètement gratuit : il est actuellement en phase test mais vous pouvez déjà le télécharger. Quant à la version finale, elle sera disponible fin juillet.

OFabulis est un projet porté par Edwige Lelièvre, le Centre d’Histoire Culturelle des Sociétés Contemporaines (CHCSC) et l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ), en partenariat avec Emissive et le Centre des monuments nationaux (CMN) avec une musique de Xavier Hautbois. Avec la participation du groupe de recherche G-SICA, du laboratoire LLS de l’Université de Savoie et de l’IUT de Vélizy. Il bénéficie du soutien du Conseil régional d’Île-de-France.